Zombie Island (tome 1) [Lecture du 13/02/2019 au 27/02/2019]

Hello mes ptits chats,

Je vous retrouve aujourd’hui pour une nouvelle chronique avec beaucoup beaucoup de retard. J’ai eu quelque souci de planning (on va dire) et c’est pour ça que je n’ai pas pu publier plus tôt cette chronique et toutes les autres qui vont suivre. Si vous me suivait sur instagram, vous avez déjà pu voir en gros mon avis sur le livre, mais si vous ne me suivez pas je vous laisse découvrir celle-ci.

Le livre que je vais vous présenter aujourd’hui est un livre que j’ai découvert dans une boite à livre. Je ne l’avais vu nulle part et j’avais envie d’une chose c’est me plonger dans un univers totalement différent de ce que j’ai l’habitude de lire. C’est un livre «horreur» mais qui ne m’a pas du tout fait «peur», c’est plutôt le genre de livre ou l’on se dit «mais pourquoi l’auteur a écrit ça». Je vous explique tout ça.

Titre : Zombie Island

Auteur : David Wellington

Edition : Milady

Résumé

A la suite d'une catastrophe mondiale les pays les plus développés sont envahis par des hordes de zombies cannibales. Seules quelques enclaves subsistent, en Somalie notamment. A la recherche d'un remède au virus, un groupe d'adolescentes surarmées, menées par un vétéran, se rend à New York. Tous se croient préparés au pire. Mais dans l'île de Manhattan en ruine, ils vont bientôt découvrir que la non-mort est loin d'être le destin le plus terrifiant...

Ma chronique

✴✴✴/5

Il y a des livres qui commencent bien et des livres qui finissent mal, des livres qui sont des coups de cœur ou encore des livres qu’on n’abandonne. Et puis il y a des livres qui n’auraient pas dû voir le jour ou du moins être écrit comme ils le sont. Il est vrai que des fois on s’attend à autre chose, une histoire qui a du sens et qui suit une logique, une histoire que l’on peut vite comprendre sans partir trop loin.

Dekalb est un chercheur vétéran qui travaillé pour les Nations Unies. Il se trouvait en Afrique avec sa fille quand le monde se détériore petite à petit, envahit par des zombies. Il perdit sa femme mordue par l’un deux et pour protéger sa fille, Sarah, il décida de rejoindre la Somalie, l’un des seuls pays encore intacte grâce aux esclaves subsistent.

Mais pour avoir la protection dans ce pays, qui est dirigé par Mama Halima, souffrante du sida, il va devoir partir à la chasse aux médicaments. Leur accord étant qu’elle protégera sa fille si ce dernier ramène les médicaments et seulement si. On envoie donc Dekalb par bateau, chercher les médicaments qu’il a besoin, dans un des pays les plus développés, un pays où les zombies fond la loi, l’île de Manhattan, plus précisément à New-York. Avec pour seul escorte un groupe de jeunes filles, tout juste plus âgé que sa fille, mais armé jusqu’aux dents et qui vont s’avérer être de vraies armes de guerre.

Au court de cette mission, les jeunes aventuriers vont découvrir des choses auxquelles ils ne si attendaient pas et des vies dépendront de leur choix, beaucoup plus que ce qu’ils ne s’imaginaient. Ils vont devoir être très prudent et se méfier de tout.

Et puis en parallèle nous suivons Gary, un étudiant en médecine, qui se retrouve seul pendant que tout le monde autour de lui se transforme en mort-vivant. Il sait ce qui l’attend, mais il était hors de question qu’il devient un amas de chairs qui marche, sans la moindre pensée rationnelle. Il décide donc de se donner la mort, mais grâce à ses connaissances et au matériel de l’hôpital, il arrive à continuer à insuffler de l’oxygène à son cerveau.

Et voilà que se dresse le premier zombie intelligent. Gary ne s’y attend pas et ne comprend pas ce qu’il lui arrive, mais il fera la découverte du petit groupe et grâce à eux il comprendra tout.

David Wellington est un écrivant avec beaucoup de talent et qui hausse faire quelque chose d’innovant, mais pour moi il ne m’a pas convaincu. J’ai bien aimé suivre le point de vue des deux personnages principaux, savoir ce qu’ils méditent et découvrir ce qu’ils pensent de la situation, mais pour moi, il y avait beaucoup trop de longueur et peu de détail ou on aurait aimé en avoir. Il n’y a pas de rythme dans la lecture et trop événements sont tirés par les cheveux. Je pense que ce qui m’a le plus perturbé c’est le nom de toutes les villes que l’on pouvait retrouver ou même des armes. Je n’arrivais pas du tout à me faire l’image dans la tête et j’ai du m’accrocher pour le finir.

Ce premier tome a été une bonne découverte dans le bon sens du thème, mais la saga en soit, a été une très mauvaise découverte. On s’attend à un roman comme à la «Walking dead» ou dans le même style mais finalement c’est une toute autre histoire. La fin de ce moment m’a quand même poussé à lire le suivant car l’auteur a réussi à nous tenir en haleine.

J'espère que cette chronique vous aura plus, j'ai pris beaucoup de plaisir à l'écrire. J'espère aussi qu'elle vous tentera pour lire ce roman qui pour moi est un livre qui faut absolument lire. Je vous retrouve donc la semaine prochaine pour une nouvelle chronique, et surtout n'hésité pas à me dire ce que vous en pensez.

Bisous, bisous et portez vous bien.